« (La série) réussit à imposer un rythme survolté (…) Écrite avec justesse, remarquablement interprétée… . » Aude Dassonville, TÉLÉRAMA
« On est pris dans l’engrenage de Stalk dès le premier épisode. » « Théo Fernandez, qui incarne Lux, est bluffant. Face à lui, Carmen Kassovitz tient son tout premier rôle et s’en sort brillamment. » Stéphanie Guerrin, LE PARISIEN
« réussit non seulement l’exploit de captiver de bout en bout en filmant le quotidien quasi statique d’un hacker geek, mais parvient aussi à questionner le rapport du spectateur aux écrans et à l’intimité (…) aussi fascinante qu’addictive. » Claire Stevens, Karelle Fitoussi, Corine Thorillon, PARIS MATCH
« Plus qu’un simple divertissement, la série tient un véritable propos, mettant en lumière le cyber-harcèlement et les formes pernicieuses que celui-ci peut prendre. (…) un teen show léché qui aura su nous tenir en haleine de bout en bout, grâce à une intrigue crescendo. » Florian Ques, KONBINI BIIINGE
« Qu’il s’agisse du hacking lui-même, toujours crédible, à la mise en scène des vidéos piratées, toujours inventive, Stalk est une vraie réussite visuelle et narrative, idéale pour le binge watching, et offre un miroir déformant – un black mirror ? – sur les nouvelles technologies et les nouvelles générations ». Vincent Julé, 20 MINUTES
« Stalk réussit à développer des personnages nuancés, qui échappent à un traitement manichéen ». « Très addictive ». Thomas Desroches, ALLOCINÉ
« Là où pas mal de séries pour adolescents tombent dans le piège des stéréotypes, Stalk détonne en mettant en scène des personnages complexes, loin de toute logique manichéenne. (…) Théo Fernandez incarne avec brio le héros principal. Et montre que l’on peut tour à tour devenir victime puis bourreau. (…) En dix épisodes, la série nous plonge dans l’univers inquiétant du hacking. Et sensibilise au cyberharcèlement, sans jamais tomber dans une pédagogie de bas étage d’un guide pratique du gouvernement. » Ophélia Pinto, LE FIGARO TV MAGAZINE
« En plus d’être addictive, intrigante et divertissante, la série portée par Théo Fernandez nous interpelle sur les dangers des réseaux sociaux et de l’informatique tout court. » Lola Maroni, PURE BREAK
« (La série) réussit la prouesse de mêler à un teen show une véritable réflexion sur la cybersécurité du monde réel, loin du fantasme de la plupart des séries et films ». Julien Cadot, NUMERAMA
« Stalk montre de façon très réaliste toute cette paranoïa engendrée par les appareils connectés ». TÉLÉ Z
« Portée par le talent sobre de Théo Fernandez, cette série nous met en garde sur les dangers de l’hyperconnexion. Addictif » Camille Sanson, TÉLÉ 7 JOURS
« Outre son inventivité et son casting impeccable, la grande force de la série Stalk est de surfer sur nos paranoïas actuelles et sur la crainte qui nous fait considérer, à raison, tous les appareils connectés de notre quotidien comme de potentiels espions. (…) Troublante et franchement flippante par moments, cette série addictive met surtout le doigt sur une problématique contemporaine qu’on aurait tort de négliger. En ces temps d’hyperconnexion – à la recherche d’informations, de divertissements ou de liens à maintenir avec les proches et la famille -, le stalking ou traque et espionnage sur internet est en effet plus que jamais d’actualité. Entre fascination et répulsion, la série, parfois anxiogène, nous pousse à réfléchir à nos comportements. Son créateur, Simon Bouisson, (…) pousse encore plus loin la réflexion sur la nature de l’intimité créée par nombres d’ados et d’adultes avec leur téléphone portable. Cette sphère intime, Simon Bouisson, également réalisateur de la série, la scrute avec beaucoup de lucidité en compagnie de son coauteur Jean-Charles Paugam. » Karin Tshidimba, LA LIBRE BELGIQUE